Revue Hebdo du 19/06/23

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Brave New World

Spécial femmes dans le monde

RIP (ou pas)

Spécial France

Spécial femmes en France

Spécial médias et pouvoir

Spécial ils osent tout et c’est à ça qu’on les reconnaît

Spécial emmerdeurs irresponsables gérant comme des pieds (et à la néolibérale)

Spécial recul des droits et libertés, violences policières, montée de l’extrême-droite…

Spécial résistances (et on continue à foutre le Zbeul !)

Spécial GAFAM et cie

Les autres lectures de la semaine

  • Apple Vision Pro : le casque était un masque. (affordance.framasoft.org) Si l’amour c’est “regarder ensemble dans la même direction” (Antoine de Saint-Exupéry), alors la technologie c’est de plus en plus regarder seul dans toutes les directions.
  • Low-tech : de la réappropriation de la technique à la réappropriation démocratique (hubertguillaud.wordpress.com)
  • Jérôme Baschet : « La première violence est celle d’un système qui expose les êtres vivants au chaos climatique » (basta.media)
  • L’expérience coloniale et décoloniale latino-américaine (contretemps.eu)
  • À propos d’un usage actuel du mot « terrorisme » (lundi.am) Tout ce qui s’oppose intensivement, fermement, radicalement, à la domination rationnelle que ce monde exerce sur nos possibilités d’existence est désormais qualifié par ses laquais politiques et médiatiques de terroriste. Cela serait amusant si la situation n’était pas aussi déglinguée ; à moins que ce ne soit bassement absurde à défaut d’être proprement inquiétant. […] Le pouvoir se veut inflexible et nous manquons de dureté, si ce n’est d’audace. À ne bordéliser qu’à moitié, nous creusons notre propre tombeau.
  • Pour Barbara Stiegler, « La phase terminale du néolibéralisme est nécessairement violente » (humanite.fr)
  • « Le danger central, c’est la fascisation de l’État » (cqfd-journal.org) Bien sûr, les gouvernements bourgeois ont toujours cherché à imposer des mesures favorables au capital et réprimé des mouvements populaires. Mais en général, sauf situation révolutionnaire du type Commune de Paris, les gouvernants savent qu’il y a un niveau d’imposition (donc d’impopularité) et de répression au-delà duquel l’instabilité politique peut devenir dangereuse pour la classe dont ils défendent les intérêts. Là, manifestement, la volonté d’infliger une défaite historique aux mouvements sociaux apparaît plus importante pour Macron et consorts que celle de forger du consentement dans la population. Ils veulent passer coûte que coûte et ils comptent sur la généralisation du désespoir pour continuer à gouverner par la suite. Mais le parti du désespoir – ou de la rage impuissante – c’est précisément le fascisme. […] La fascisation, ce n’est pas simplement synonyme de montée des partis fascistes ou néofascistes. Il s’agit aussi et surtout d’une préparation à un État policier détruisant toute forme de contre-pouvoir – politique, syndical, etc. – et s’appuyant sur une idéologie spécifique capable d’atteindre l’oreille d’une partie des masses, notamment petite-bourgeoises.

Les BDs/graphiques/photos de la semaine

Les vidéos/podcasts de la semaine

Les trucs chouettes de la semaine